23 Mars 2009
ANDRE Elise
âgée de 3 ans et demi
Taille : 97cm
Corpulence : fine (12kg)
Cheveux : mi-longs (aux épaules)
châtains clairs
yeux : marron
Vêtue de :
- chaussures montantes cuir à scratchs bleues
- Pantalon de toile noir
- sweat gris
- gilet de laine gris et noir à fermeture éclair
- anorak noir à capuche
Susceptible de se trouver dans un véhicule Renault MODUS immatriculé 399 ABD 76 de couleur marron-beige
A été enlevée ce-jour à 11h50 sur la commune d'ARLES, par une femme accompagnée de deux hommes.
Les enfants sont facilement otages de divorces conflictuels.
L'ENFANT QUE L'ON VEUT "soit-disant "PROTèGER EST LA PREMIERE VICTIME.
Dans bien des cas helas, la dimension NARCISSIQUE joue un rôle au moins aussi important que l'amour pour l'enfant.
La disparition du couple parental et de la cellule familiale entraine bien souvent une angoisse d'anéantissement et des déséquilibres affectifs important voir des pertes d'idéaux dramatiques...
A méditer sérieusement.
Combien de couples déchirés, le restent pour sauvegarder l'équilibre apparent de leurs enfants.
Combien de famille monoparentale et donc en déséquilibre affectif, font rentrer trop vite de nouveaux amoureux dans leurs foyers.
Combien de couples qui se séparent, utilisent les enfants comme une arme, pour alimenter une quelconque vengeance personnelle. !
Mais parle t-on encore d'amour...
Où es le sens du mot Amour.
Notre pays, comme les pays voisins européens, connaît depuis les années 1970 une
évolution sans précédent de la famille et des configurations familiales.
À partir du moment où le pacs a été créé, il a été pris d’assaut par les couples hétérosexuels,
qui représentent 85 % des pacsés. Cette évolution dans les unions a amené à ce que la
moitié des enfants naissent hors mariage.
Parallèlement, on constate une augmentation
des séparations dans toutes les formes d’union, une augmentation des divorces pour les
couples mariés et des séparations dans le cadre des couples vivant ensemble en
concubinage, en union libre ou pacsés.
La tendance permanente est celle d'unions d’assez
courte durée pour la plupart. On a le sentiment que lorsque les gens se marient, l'union
dure un peu plus longtemps mais, en fait, pas tant que cela. Pour l’enfant, il n’existe
aucune forme d’union qui soit sécurisante du point de vue de la continuité de ses liens
avec ses deux parents. Alors que l’intérêt principal de l’enfant est justement cette
continuité du lien !
Aujourd’hui, un enfant sur quatre ne vit pas avec Ses deux parents, soit 4 millions
d’enfants, et c’est une tendance en augmentation. On sait aussi que 2,8 millions
d’enfants vivent dans des familles monoparentales, dont le chef de famille est la
maman dans 85 % des cas. Mais il commence à y avoir un certain nombre de
situations, 20 % des cas, où le père devient le chef de famille, lorsque l’enfant est plus
grand, adolescent. Cela n’est pas sans conséquence parce que les familles
monoparentales sont plus fragiles et ont une situation économique plus précaire.
Souvent les femmes ont des emplois plus précaires, ce qui fragilise énormément la
famille au point de vue du logement. Beaucoup de gens ne vivent en situation monoparental, habitent
par exemple chez leurs parents pour 20 % !
Nous savons également que 1,6 million d’enfants vivent dans une famille recomposée.
Dans ces familles recomposées, les deux tiers des enfants ont une expérience de vie
avec une nouvelle fratrie issue de cette recomposition. De plus en plus souvent, les
enfants sont amenés à avoir des liens avec des tiers - des beaux-parents mais aussi les
enfants de ceux-ci issus des précédentes unions et toute la parenté qui va avec, grandsparents,
etc. - qui vivent avec eux pendant un certain nombre d’années, qui participent
à leur éducation, même lorsqu’il y a un autre parent qui ne vit pas au domicile de
l’enfant. Bien évidemment, des liens affectifs se créent au fil des années.
BY UGO