17 Juillet 2009
Dans la cité, le choc est grand. « Je ne suis pas d’accord avec cette fermeture », se navre Valérie, pharmacienne dans le centre-ville. « C’est désolant de penser que la ville va perdre une partie de son patrimoine. Nous avons signé toutes les pétitions, alimenté un site Internet pour sauver l’usine et les emplois, mais rien n’y a fait », continue-t-elle, dépitée. Il est vrai que depuis l’annonce de la fermeture du site, en novembre dernier, par Unilever, la maison mère d’Amora, beaucoup de commerçants, d’habitants et d’élus bourguignons s’étaient mobilisés pour sauver leur usine. En vain.
By Ugo